Les chaussettes

A moins d’avoir des pieds insensibles, le choix des chaussettes de randonnée est primordial pour éviter d’avoir des ampoules, des échauffements ou des frottements désagréables.

Qualité des chaussettes :  sèchent vite, sont solides et durables  

Elles peuvent être peu odorantes, mais là ce ne dépend pas toujours d’elles seules.

Malgré les conseils suivants : impossible de connaître l’efficacité des chaussettes sans les essayer, mais au moins, vous savez à quoi elles servent.

Les critères importants pour bien choisir ses chaussettes de randonnée

1 – La pointure des chaussettes de randonnée

Les chaussettes ont des fourchettes de pointure MAIS SI votre pointure se trouve entre deux fourchettes (38,5 par exemple) et que vous ne pouvez pas les essayer, prenez plutôt la taille en dessous, surtout si elles sont extensibles, pour éviter d’avoir des plis. Ou alors, tournez-vous vers un autre modèle avec des fourchettes différentes.

2 – La taille : chaussettes montantes ou basses ?

Il existe des chaussettes de marche basses (socquettes), des chaussettes montantes et plein d’intermédiaires entre les deux.

Pour choisir la bonne taille, c’est très simple : il suffit que la chaussette monte plus haut que le col de vos chaussures pour éviter que votre peau ne soit en contact direct avec la chaussure.

Avec des chaussures basses, vous pouvez tout à fait utiliser des chaussettes de randonnée montantes, ça permet de mieux protéger la cheville et la jambe des coups et des frottements et d’avoir un peu plus chaud.

3 – L’épaisseur des chaussettes de marche

Une chaussette de randonnée épaisse :

  • Apporte du confort en protégeant bien le pied ;
  • Isole du froid (à construction et matériaux égaux par rapport à une chaussette plus fine) ;
  • Mais : est moins ajustée et peut bouger plus facilement en marchant, et fait plus transpirer par temps chaud.

Une chaussette de marche fine :

  • Reste bien au contact du pied et bouge moins ;
  • Mais : est moins confortable et isole moins du froid (pour des matériaux et une construction similaire).

Par temps froid

La question ne se pose pas trop, car vous aurez besoin de vous protéger du froid et des chaussettes épaisses seront plus appropriées – surtout que vous aurez moins de chance de transpirer.

Par temps chaud

Il faut trouver un compromis entre le confort et la chaleur (surtout pour les randonnées longues, avec du dénivelé et sur des terrains difficiles) car :  

  • Des chaussettes trop fines pourraient mettre vos pieds à rude épreuve – surtout si les chaussures sont peu rembourrées et/ou que vous avez la peau des pieds fragile ;
  • Avec des chaussettes trop épaisses vous transpireriez beaucoup et risqueriez d’avoir des ampoules plus facilement.

4 – Les matériaux : un critère à ne pas négliger

Les matériaux ont leur importance car ils ont chacun des propriétés différentes et donc des avantages et inconvénients différents.

Les fibres synthétiques

Elles isolent bien du froid même humide. (Moins que la laine)

Quatre qualités : l’isolation thermique, l’évacuation de la transpirationsèchent vite et sont assez résistantes et durables

Inconvénient : sans traitement antibactérien, les odeurs se développent facilement ;

L’élasthanne

Fibre synthétique que l’on retrouve en petite proportion dans beaucoup de chaussettes de randonnée pour leur permettre de garder leur forme, qu’elles soient bien ajustées et qu’elles ne se plissent pas. Tel la marque Lycra

Le coton : pas vraiment recommandé

Les avantages : Le confort et il est parfois combiné à des fibres synthétiques ou de la laine donc plutôt pour de courtes randonnées ou des balades faciles. De plus les odeurs ne s’y développent pas facilement moins que les ampoules

Les inconvénients : Le coton absorbe l’humidité, ne l’évacue pas et sèche lentement, ce qui favorise l’apparition d’ampoules. Le coton est abrasif et n’isole pas du froid quand il est mouillé.

La laine mérinos

C’est un matériau de plus en plus utilisé dans les chaussettes.

Avantages : confortable, isole du froid même quand elle est mouillée. Elle est thermorégulatrice, elle isole également du chaud. et est naturellement antibactérienne de plus l’apparition des mauvaises odeurs est limitée

Inconvénients, elle évacue un peu moins bien la transpiration et elle s’use rapidement. C’est pourquoi on trouve souvent des chaussettes de marche fabriquées avec un mélange de laine mérinos et de matériaux synthétiques.

Comment s’y retrouver ?

Aucun conseil particulier car c’est votre peau qui va réagir à tel ou tel matériaux ?

Le mieux est de prendre deux variétés de chaussettes avec des compositions différentes et de les essayer – Exemples – 73% coton, 24% polyester et 3% élasthanne – ou – 64% laine mérinos et 36 % polyamide

5 – La construction et la conception des chaussettes de randonnée

Voici quelques caractéristiques techniques courantes :

Zones de renfort

Beaucoup de chaussettes de randonnée possèdent des renforts aux talons et au niveau des orteils, voire à d’autres endroits.

Une paire usée vous montrera où chercher les renforts de chaussettes, et vous montrera la morphologie de votre pied

Zones de bouclettes et zones molletonnées

Les bouclettes sont un tissage en épaisseur et les molletons sont un tissu épais et moelleux. Ces zones offrent un bon confort et protègent efficacement contre les frottements.

Zones respirantes

Comme leur nom l’indique, ces zones servent à évacuer la transpiration. Elles sont généralement plus fines ou ont des mailles plus larges que les autres parties de la chaussette et se trouvent dans les endroits avec moins de frottements : coup de pied, côtés du pied, côtés des mollets, etc.

Bandes de maintien

Sur beaucoup de chaussettes, on retrouve des bandes de maintien (élastiques) qui maintiennent la chaussette en place – par exemple au niveau de la cheville.

Coutures

Le type de couture et leur emplacement ont leur importance car elles peuvent créer des surépaisseurs et causer des ampoules et autres désagréments. Les chaussettes « sans couture » ou à coutures plates sont une bonne option.

Il existe aussi d’autres variétés de chaussettes plus spécifiques pour les compétiteurs : chaussettes doubles, chaussettes pour chaque pied

 Un seul vrai conseil :

Essayez vos chaussettes de randonnée

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Les chaussures

Conseils de notre présidente

Pour bien choisir sa paire de chaussure, aller en magasin en fin d’après-midi quand le pied a gonflé, mettre ses chaussettes de randonnée (souvent plus épaisses) pour l’essai.

Avant de se chausser pour une rando, toujours vérifier à la main qu’il n’y a pas de caillou dans la chaussure.

Après la rando, après la douche, observer son pied pour repérer d’éventuelles zones d’échauffement et hydrater ces zones… et l’ensemble du pied (c’est excellent le massage du pied…)

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Les conseils ci-dessous sont de l’ordre technique pour favoriser votre choix

Que se passe-t-il au niveau de votre pied quand vous marchez ?

Lorsque votre pied est enfermé dans une chaussure, il transpire. Votre peau est alors molle et vulnérable : c’est le meilleur moyen d’attraper des ampoules.
Si vous randonnez avec une chaussure de ville, votre pied ne sera pas suffisamment maintenu, ce qui provoquera des frottements, premier facteur d’échauffement du pied… et de formation d’ampoules.
De plus, en extérieur, le terrain peut être instable, mouillé, glissant, montant, en dévers… bref autant de paramètres qui soulignent l’importance d’avoir le pied bien maintenu.

Les critères de choix pour vos chaussures de randonnée :

Choisir vos chaussures de randonnée nécessite de préciser plusieurs paramètres :

Le contexte : Le type de randonnée que vous allez pratiquer (durée, terrain…)

Votre morphologie : Comment vérifier qu’une chaussure vous ira bien.

La structure de la chaussure : Les caractéristiques des chaussures de randonnée : hauteur de la tige, semelle, matière, lacets… et comment choisir les meilleures spécificités pour votre pied et vos randonnées.

La saison : les conditions climatiques que vous rencontrerez le plus souvent.

La semelle : Comment choisir une semelle intérieure pour mieux adapter la chaussure à son pied.

L’imperméabilité : Un petit focus sur la manière de rendre imperméables ses chaussures de randonnée… et sur les chaussettes, deux façons d’améliorer encore l’efficacité et le confort de votre future paire

Comment repérer la paire de chaussures de marche qui fera votre bonheur sur tous les chemins ?

1- Pour la balade : Marcher quelques heures, sur des sentiers tracés, de niveau facile, avec rien sur le dos ou juste un petit sac à dos de rando à la journée.

Des chaussures à tiges basses ou mi-montantes, de préférence souples et légères, orientées multi activité

2- Pour la randonnée active : Une approche sportive de la balade en marchant en plaine et moyenne montagne à allure soutenue. Les terrains sont variés avec peu ou beaucoup de dénivelés.

Des chaussures adaptées à tiges basses, mi-montantes voire montantes en fonction de l’environnement. Les principaux avantages de ces chaussures sont leur souplesse et leur adhérence.

3- Pour la petite randonnée : De quelques heures à quelques jours, 2 ou 3 tout au plus

Des chaussures de tiges moyennes à hautes de préférence. En effet, il est conseillé d’avoir un bon maintien de la cheville tout en gardant une semelle souple mais capable de supporter votre poids et éventuellement celui d’un sac à dos pour plusieurs jours.

4- Pour la grande randonnée : vous allez marcher durant de longues heures, sur des terrains parfois très accidentés et osciller entre dénivelés positifs et négatifs.

Des chaussures bien adaptées, montantes, rigides et robustes.

Symptôme d’un pied instable

Le saviez-vous ?

Un pied est composé de 28 os, 27 muscles et 33 niveaux d’articulation ! Les différentes parties du pied présentent des volumes, tailles ou emplacements différents d’un individu à l’autre. Ajoutons aux données variables du pied, de multiples formes et volumes avec des pieds creux, des pieds plats… tous ne se comporteront pas de la même manière.

Votre morphologie, un critère indispensable pour trouver chaussure à son pied

On ne soupçonne pas toutes les différences notables d’un pied à l’autre : forme des orteils, voûte plantaire, cambre du pied… en fait, tous les pieds sont différents, il n’y a pas de pied « universel ».

D’où l’importance de choisir avec soin vos chaussures pour qu’elles s’adaptent au mieux à vos particularités podologiques.

Solution N°1

Pour ne plus avoir mal aux pieds :

Choisir la bonne taille de chaussures

Le bord interne de la chaussure doit être droit sans aucune déformation.

La largeur de la chaussure doit idéalement être à 10 mm près de la même largeur que l’avant-pied.

La longueur de votre chaussure doit être 1 à 2 cm plus longue que votre pied afin qu’il ne soit pas en butée au bout de la chaussure de rando. De plus, pendant l’effort, le volume de votre pied va changer, va gonfler, il faut donc lui laisser de la place pour s’adapter au cours de la journée.

Solution N°2

Pour ne plus avoir mal aux pieds :

L’importance des semelles intérieures

Marquons un petit temps d’arrêt pour parler des semelles et de leur importance pour votre confort dans une chaussure de randonnée ou autres. L’inconfort ressenti avec une chaussure de randonnée aux pieds est, 9 fois sur 10, provoqué par un mauvais soutien plantaire. Il est alors nécessaire de mettre des semelles dans vos chaussures.

Ceci est un résumé des conseils issus du site auvieuxcampeur.fr

Pour des infos beaucoup plus détaillées et des idées de chaussures et tarifs aller sur le site :

https://www.auvieuxcampeur.fr/guide-de-choix-chaussures-randonnee

Voir aussi les conseils de la fédération :

https://www.ffrandonnee.fr/randonner/conseils/les-chaussures-de-marche-et-de-randonnee

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A.G. départementale du 25 février 2023

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Le club a diversifié ses actions : Tant au niveau de la marche nordique et de la randonnée nordique santé.

La fédération départementale a tenu à remercier et encourager Le club et surtout Sophie pour le travail accompli.

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A gauche la remontée sur Paris à partir de Nantes dans le cadre des J.O. 2024.

Le G.R. 35 à l’honneur

Le 15 mai 2024 La flèche – Le Lude

Le 16 Le Lude Vaas

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La gazette sarthoise de la randonnée avec des nouvelles du club et de  » la Sarthe à pied »

Un groupe de randonneurs c’est ?

Un groupe de marcheurs avec un encadrement.

LE BÉNÉVOLAT N’INSTALLE PAS UN PARADIS D’IRRESPONSABILITÉ

L’encadrement se compose comme suit :

1- L’animateur ou chef de file

La sécurité doit être la préoccupation constante de l’animateur

ou du responsable de la randonnée.

Ce qu’il doit faire :

1- Démarrer la randonnée à l’heure dite.
2- Compter les randonneurs au départ.
3- Désigner nommément le(s) serre-file(s).
4- Vérifier l’équipement. Tel que les gilets fluos, drapeaux de marche,
5- Rappeler avant le départ les consignes de sécurité.
6- Contrôler et faire appliquer les consignes de sécurité au cours de la randonnée.
7- Compter les randonneurs à l’arrivée.
8- Terminer la randonnée à l’heure dite sauf incident.

Notre organisation fait que certaines tâches sont faites par des personnes du bureau tel les N° 1,2 et 3

L’équipement personnel est laissé à la libre discrétion de chacun mais lire l’onglet relatif à l’équipement.

L’animateur se place, selon le relief de la route, en avant et parfois suffisamment loin du groupe afin de voir si un véhicule arrive.

2- Le serre-file :

Le serre-file se met en arrière pour surveiller les arrières du groupe et veiller à ce qu’il ne manque personne

Il peut être amener a se placer suffisamment loin pour indiquer au véhicule qu’un groupe est constitué et que le chauffeur du véhicule ne soit pas surpris par le groupe.

3- Des délégués dans le cadre des groupes supérieurs à 30 personnes

Personnes nommées pour encadrer les petits groupes

Chaque membre qui ne respecte pas les règles de sécurité demandée par la fédération
Et donc le club,
Engage sa propre responsabilité civile et pénale

Les groupes de plus de 30 personnes

Un groupe de plus de 30 personnes est un danger en lui-même.

L’automobiliste ne saura comment évaluer le dépassement d’un tel groupe.

Trop long, trop lent, trop dense.

Pour vous donner une idée de grandeur une semi-remorque standard fait,

tout compris, 16,50 m de long.

D’où la nécessité de scinder le groupe par deux.

A l’intérieur de chaque groupe, le déplacement doit se faire deux par deux

et sur le côté droit de la chaussée.

Chaque groupe ne doit pas faire plus de 20m de longueur.

L’intervalle entre chaque groupe est de 50 m.

Le dépassement des véhicules est ainsi facilité

Dans cette configuration, l’on appelle « délégués » les personnes intermédiaires

chargées de fermer et ouvrir les groupes

LE RANDONNEUR dans les ENDROITS DANGEREUX

Que ce soit au sommet d’une côte ou dans un virage dangereux,

l’on doit pouvoir évaluer en fonction de la visibilité

la distance et la vitesse des véhicules.

L’animateur doit se porter en éclaireur pour sécuriser et ouvrir la marche

il doit aussi demander au serre-file de rester en retrait du groupe

pour sécuriser et fermer la marche

Le sommet d’une côte
Dans un virage

Le randonneur et la route

LE RANDONNEUR ET LA ROUTE

Nous tenons pour acquis le rôle de l’animateur (chef de file) et du serre-file.

Pour se déplacer un groupe est tenu d’emprunter les emplacements praticables spécifiques aux piétons : Trottoirs ou accotements.

En agglomération :

Le randonneur a l’obligation de prendre les passages piétons s’ils sont à moins de 50 m.

Les feux de signalisations sont à utiliser comme dans la normale.

Si un agent fait la circulation, le randonneur attend son signal.

Hors agglomération :

Le déplacement par  » un  » doit se faire sur le bord gauche.

Le déplacement en groupe par « rangée de 2 » maxi sur la droite.

Pour des raisons de sécurité, l’animateur peut enfreindre ces règles et s’adapter au terrain en optant pour la meilleure sécurisation du groupe

D’une manière plus générale :

1- Aux intersections sans passage piétons, il faut emprunter la partie de la chaussée en prolongement du trottoir

NE JAMAIS TRAVERSER EN DIAGONALE

2- Hors des intersections il faut revenir à la technique du râteau.

C’est à dire traverser perpendiculairement à l’axe de la chaussée

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Consignes aux randonneurs

1- Suivez les consignes et les recommandations des animateurs

Le chef de file d’un groupe est seul décisionnaire quant à la sécurité du groupe.

Il peut néanmoins dans le cadre d’une formation, ou autre … être appuyé par un animateur ou un membre du bureau.

2- Le randonneur doit informer l’animateur d’éventuelles difficultés de santé, AVANT LE DÉPART.

Ceci afin d’adapter le rythme du groupe.et de pouvoir faire de la prévention plus facilement

3- Le randonneur doit savoir qui a la trousse de secours

4- La tête de file est l’animateur du groupe et doit veiller à sa sécurité

Elle ne doit jamais être dépassée.

Elle peut même prendre seule de l’avance sur le groupe dans les virages dangereux.

A ce même moment, le Serre-file sur demande de l’animateur peut prendre du retard sur le groupe pour signaler la présence de randonneurs aux autres usagers de la route.

Le groupe doit alors rester compact.

5- Si le randonneur doit sortir du groupe, il doit en informer la tête de file ou le serre-file.

Il doit laisser son sac à dos au sol bien visible, cela laisse la faculté au serre-file de savoir si le randonneur est revenu.

Sans sac à dos, le randonneur doit avertir de son retour.

6- Le randonneur doit respecter la nature.

(Ex : Papiers mouchoirs ou masques perdus… épluchures de fruits…)

7- Sur le parcours la récolte de fruits, la cueillette de fleurs ou champignon est interdite (FFRando)

8- Les chiens ne sont pas acceptés,

Attention :  En aucun cas le responsable n’est habilité à arrêter la circulation.

Le râteau

Quand nous roulons sur une route et que nous voyons un chevreuil traverser, nous ralentissons car en général un second puis un troisième peut arriver. Nous, conducteurs, sommes dans le doute.

Voilà, l’impression que nous donnons, nous, randonneurs, aux conducteurs si nous traversons en troupeau une route.

D’où la création d’une norme pédestre de sécurité : le râteau.

Pourquoi ce nom ? Parce que nous DEVONS nous aligner comme les dents d’un râteau pour traverser une route.

Le râteau est un élément obligatoire et essentiel de la sécurité du groupe.

Il ne faut pas voir ceci comme une contrainte mais comme un réflexe pour notre sécurité, et la sécurité de chacun.

Elle est utilisée sur les axes routiers non munis de passages protégés, feux tricolores, stop…

L’objectif :

Traverser ensemble afin de ne présenter qu’un seul obstacle à un véhicule.

Le mode :

Traverser en ligne comme les dents d’un râteau.

La technique :

– Traverser par ligne de quinze MAXIMUM ; si on est plus l’on forme plusieurs râteaux.

Par exemple : on est 16, on a donc deux râteaux de 8

– Le râteau doit se faire sur le bas-côté ou un lieu sécurisé et non pas dans le carrefour même d’une route

Le « chef de file » :

1- Le chef de file est le seule responsable des décisions

2- Il fait une rapide analyse du risque et fixe la zone de départ et d’arrivée du râteau

3- Il regroupe les randonneurs et leur donnent les consignes.

4- Il demande l’avis du « serre file » (côté gauche) qui a une autre vision du risque (côté droit), avant de donner seule l’autorisation de traverser.

Dans certains clubs, au vu de l’indiscipline de certains, et aussi afin d’avoir une meilleure efficacité, la traversée se fait bras dessus-dessous.

Il est à noter que le râteau peut ne pas être utilisé sur de petits axes forestiers sans risque,

C’est à la discrétion du chef de file.

Chaque membre qui ne respecte pas les règles de sécurité demandée par la fédération
Et donc le club,
Engage sa propre responsabilité civile et pénale

Nota : Les schémas sont de « Chemin faisant » de Massy

Historique du Randoclubludois

Histoire du club

Il n’y avait pas de club de randonnée en 2021 sur le Lude.

Mme Sophie Lyon, habitant Le Lude et adhérente du club de randonnée pédestre de château Lavalière décida avec des amies de créer le club.

Avec l’aide de jean Paul Verneau, Président du randoclub de Castelvalérie, elle franchit toutes les étapes de la création du club jusqu’à l’adhésion à la Fédération française de randonnée.

Le club grâce à son efficacité connait une croissance constante et a pris sa place dans la communauté sportive du Lude.

Le club d’un point de vue administratif

Le club de randonnée et de marche nordique du Lude qui a pour nom le Randoclubludois a été créé en mars 2021.

C’est une association loi 1901 de randonnée pédestre sous le N° W721006158

Il est affilié à la Fédération Française de Randonnée sous le N° 10582

Cette association a pour but d’organiser des randonnées afin de favoriser la découverte du milieu naturel, de développer les contacts humains et d’aider à la promotion d’itinéraires pédestres. Elle permet aussi la pratique de la marche nordique.

Le club en chiffre

Fin 2021 : nous étions 77 adhérents

Fin 2022 : nous sommes passés à 100 adhérents

Aucune disposition légale n’impose aux associations de se doter d’un président. D’ailleurs, une association n’a pas de représentant légal mais seulement un ou des représentants conventionnels (désignés par les statuts ou par une décision de l’assemblée générale). le bureau provisoire doit décrire le mode d’organisation dans les statuts dès l’assemblée constitutive. Il faut énumérer les organes dotés d’un réel pouvoir de décision et définir leur fonctionnement.

Pour le randoclubludois :

Le bureau se compose de 9 membres fin 2022 : Une présidente, un vice-président, une secrétaire, accompagnée d’une secrétaire adjointe. Une trésorière, et une trésorière adjointe. Plus 3 membres consultatifs.